Le fil de l'âme
Pour cette nouvelle chaîne créa, j'avais envie de lier plusieurs médiums qui me tiennent particulièrement à cœur : le crochet et la photo. Quoi de mieux que le week-end de festivités autour du passage à la quarantaine de Caroline et Vincent, chez elleux dans la Drôme, pour m’exprimer et faire vivre ce morceau de coton ?
Ce triangle en crochet m'est apparu comme une évidence pour représenter ma petite famille que j'aime d'un amour inextinguible. D'une fleur toute simple naît finalement ce tourbillon de vie dans lequel nous nous plaisons à évoluer, à grandir, à cheminer en tentant d'être des gens aimants, honnêtes et de confiance.
Si le crochet est fait de mes mains, les photos sont le fruit d'un travail collectif. J'ai eu la chance d'être accompagnée de ma fille, Mathilda, des filles de Caroline et Vincent, Ally et Zoé, de Théa, la filleule de Caroline, et de Maya. Je peux vous dire que ça fourmille d'idées à cet âge là : quel régal de les voir réfléchir, glaner des éléments de la nature pour faire vivre leurs idées autour de la rivière d'Aouste-sur-Sye. J’ai volontairement laissé les photos brutes, sans retouche, pour ne pas entacher leur participation. Leur regard, leur énergie et leur liberté méritaient d’être préservés dans toute leur authenticité. C’est cette fraîcheur, cette inventivité joyeuse qui font la beauté de ce moment partagé — et c’est exactement ce que je voulais laisser transparaître.
Ce triangle en crochet m'est apparu comme une évidence pour représenter ma petite famille que j'aime d'un amour inextinguible. D'une fleur toute simple naît finalement ce tourbillon de vie dans lequel nous nous plaisons à évoluer, à grandir, à cheminer en tentant d'être des gens aimants, honnêtes et de confiance.
Si le crochet est fait de mes mains, les photos sont le fruit d'un travail collectif. J'ai eu la chance d'être accompagnée de ma fille, Mathilda, des filles de Caroline et Vincent, Ally et Zoé, de Théa, la filleule de Caroline, et de Maya. Je peux vous dire que ça fourmille d'idées à cet âge là : quel régal de les voir réfléchir, glaner des éléments de la nature pour faire vivre leurs idées autour de la rivière d'Aouste-sur-Sye. J’ai volontairement laissé les photos brutes, sans retouche, pour ne pas entacher leur participation. Leur regard, leur énergie et leur liberté méritaient d’être préservés dans toute leur authenticité. C’est cette fraîcheur, cette inventivité joyeuse qui font la beauté de ce moment partagé — et c’est exactement ce que je voulais laisser transparaître.