Fondre dans la confiance
Quand j’ai découvert l'œuvre lumineuse de Lilou et lu son texte explicatif, je ne pouvais m’empêcher de sourire et de m’y reconnaître d’une certaine façon.
Ce projet, ainsi que la joie évidente de Lilou et sa famille, m’ont aidé à renouer avec le plaisir de créer quelque chose, ne serait-ce que pour mon propre bonheur… et pour surprendre ma copine!
En même temps, j’ai dû écarter la honte qui m’empêche de partager des œuvres trop personnelles, que je considère habituellement peu dignes d’intérêt pour le “grand public”, trop collées à mes propres angoisses et questionnements.
Mon projet est en fait un cadeau pour ma copine, Alicia-Mae.
C’est une espèce de zine autobiographique mettant en vedette des Polaroïds en bande dessinée et un poème, tout rafistolé.
On y trouve les éléments suivants:
• Des petits moments de joie, de peine, de réconfort et de folie (basés sur des photographies ou souvenirs réels)
• Des citations, la plupart provenant de Marie-Andrée Gill (entre * *) et une de George Saunders (en préface)
• Les emojis de fleurs les plus souvent utilisés dans nos conversations
• Beaucoup de couleurs
• Mes propres mots, qui se sont faits rares car les images et les couleurs parlaient d’elles-mêmes.
C’est une porte ouverte sur des parcelles de notre intimité, à l’abri du jugement, avec nos propres codes et nos inside jokes.
J’ai délibérément gardé des éléments “imparfaits” (lignes croches, taches d’encre…) parce que je voulais faire de la page blanche un safe space pour tenter, le plus possible, d’aller de l’avant et d’accepter ce qui se passe, comme dans la vie.
Ce projet, ainsi que la joie évidente de Lilou et sa famille, m’ont aidé à renouer avec le plaisir de créer quelque chose, ne serait-ce que pour mon propre bonheur… et pour surprendre ma copine!
En même temps, j’ai dû écarter la honte qui m’empêche de partager des œuvres trop personnelles, que je considère habituellement peu dignes d’intérêt pour le “grand public”, trop collées à mes propres angoisses et questionnements.
Mon projet est en fait un cadeau pour ma copine, Alicia-Mae.
C’est une espèce de zine autobiographique mettant en vedette des Polaroïds en bande dessinée et un poème, tout rafistolé.
On y trouve les éléments suivants:
• Des petits moments de joie, de peine, de réconfort et de folie (basés sur des photographies ou souvenirs réels)
• Des citations, la plupart provenant de Marie-Andrée Gill (entre * *) et une de George Saunders (en préface)
• Les emojis de fleurs les plus souvent utilisés dans nos conversations
• Beaucoup de couleurs
• Mes propres mots, qui se sont faits rares car les images et les couleurs parlaient d’elles-mêmes.
C’est une porte ouverte sur des parcelles de notre intimité, à l’abri du jugement, avec nos propres codes et nos inside jokes.
J’ai délibérément gardé des éléments “imparfaits” (lignes croches, taches d’encre…) parce que je voulais faire de la page blanche un safe space pour tenter, le plus possible, d’aller de l’avant et d’accepter ce qui se passe, comme dans la vie.
